Des chercheurs de l’Inra et leurs partenaires ont étudié chez l’animal les conséquences de la présence simultanée dans l’intestin d’un certain groupe de bactéries du microbiote et d’un contaminant alimentaire courant, le déoxynivalénol (DON). « Le DON est une mycotoxine produite par des moisissures de la famille des Fusarium se développant principalement chez les céréales.