L’Académie de pharmacie alerte sur la dénutrition à l’hôpital

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Jusqu’à 60 % des patients hospitalisés seraient victimes de dénutrition, selon l’Académie de pharmacie. Développer les formations, clarifier les recommandations et coder la dénutrition font partie des propositions énoncées par l’Académie pour pallier le manque de prise en charge nutritionnelle à l’hôpital. 

De nouvelles responsabilités pour le diététicien ?

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Le diététicien sera-t-il bientôt responsable de la prise en charge des patients dénutris ou sous nutritions entérale et parentérale ? Un nouveau protocole mis en place par les ARS Ile-de-France et Languedoc Roussillon évaluera dans les prochains mois cette possible transmission de compétences.

Pesticides : quels sont les pays les plus contaminés ?

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96,7 % des légumes produits en France et évalués par l’Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) contiennent des concentrations de résidus de pesticides qui se situent dans les limites légales autorisées, selon le rapport annuel 2013 de l’Efsa sur les résidus de pesticides dans les aliments. Cela nous classe en 4e position des pays européens les plus contaminés. 

Les médecins se sont mobilisés contre le projet de loi de santé

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Entre 19 000 professionnels de santé, selon la préfecture de police, et 40 000 selon les organisateurs, ont défilé dimanche 15 mars dans l’après-midi à Paris pour protester contre le projet de loi de Santé. Lundi, Marisol Touraine a demandé une procédure accélérée au Parlement.

L’OMS appelle à réduire l’apport en sucres

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Selon de nouvelles lignes directrices, l’Organisation mondiale de la santé recommande de ramener l’apport en sucres libres à moins de 10 % de la ration énergétique totale chez l’adulte et l’enfant. Il serait encore meilleur pour la santé de réduire l’apport en sucres à moins de 5% de la ration énergétique totale, soit à 25 grammes (6 cuillères à café) environ par jour.

L’exposition in utero aux pesticides augmenteraient le risque de pathologies respiratoires

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L’exposition in utero et post natale à des pesticides augmenterait le risque pour l’enfant à naître de souffrir de symptômes respiratoires, selon les résultats d’une étude parue dans Environnemental Health Perspectives. La seconde moitié de la grossesse serait particulièrement sensible.